Page 37 - Groupe Crédit Mutuel - Rapport d'activité 2018

Une banque qui appartient à ses sociétaires clients, ça change tout !
LA MARQUE CRÉDIT MUTUEL :
LA FORCE D’UNE IDENTITÉ DIFFÉRENTE
3 questions à Claude Posternack,
Créateur du baromètre Posternak-Ifop et président de La Matrice, agence dédiée à l’opinion
Comment expliquez-vous le leadership du Crédit Mutuel dans votre baromètre ?
C.P. : Il y a 20 ans, quand j’ai créé le Baromètre Posternak-Ifop, l’image du secteur bancaire était partagée en 2 pôles : le mutualiste et celui de la banque capitaliste. 10 points d’image les séparaient. Aujourd’hui, il existe 3 pôles : Le Crédit Mutuel, puis les autres mutualistes 10 points derrière, puis les établissements capitalistes, encore 10 points derrière.
Quels sont, selon vous, les ingrédients qui font du Crédit Mutuel une marque vraiment distinctive ?
C.P. : Les différentes crises bancaires (subprimes, dettes souveraines) sont entrées en résonance avec le modèle coopératif. Le Crédit Mutuel a su en faire une opportunité. En réaffirmant le modèle coopératif à travers sa signature « Une banque qui appartient à ses clients ça change tout », le Crédit Mutuel s’est singularisé. Cette promesse « ça change tout » était d’autant plus crédible qu’année après année, grâce au formidable travail de ses élus et de ses collaborateurs, le Crédit Mutuel remportait le Prix de la relation client. Le Crédit Mutuel a « dépoussiéré » le concept du mutualisme en lui conférant dans le fond et dans la forme, une extraordinaire modernité.
Son statut coopératif et mutualiste est-il un atout fort dans cette « cote d’amour » renouvelée du grand public ?
C.P. : C’est l’affirmation indéfectible à ses valeurs et la fierté de les revendiquer dans une communication qui, depuis 10 ans, permet au plus grand nombre de se reconnaître. Pour preuve, en termes d’image, le Crédit Mutuel réalise le grand chelem : banque préférée des Français aussi bien auprès des hommes que des femmes, des moins et des plus de 35 ans, des provinciaux et des Parisiens.
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